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Par florentin, le 29.11.2014
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Date de création : 25.07.2012
Dernière mise à jour :
10.09.2015
22 articles
Malgré l’ampleur de EBOLA, Issa Hayatou et ses sbires persistent et signent : « la CAN aura belle et bien lieu au Maroc et à la date précise »
Le sujet relatif à la tenue ou non de la 20ème édition de la Coupe d’Afrique des Nations 2015 au pays du roi Mohamed IV continue d’alimenter les débats. Ni la CAF ni le Maroc ne fléchissent d’un iota de leur position. Si au Maroc, les autorités s’appuient sur la thèse de la fièvre hémorragique à virus EBOLA qui continue de sévir en Afrique pour maintenir leur demande de report en 2016 de la compétition, au niveau de la CAF, l’on tient compte des engagements pris par la confédération auprès de ses partenaires sur les plans sportif, marketing et financier et sur le plan même de l’existence de la CAF. Selon Constant Omari, président de la Fédération Congolaise de Football, « la CAF a développé un argumentaire suffisant pour justifier que cette compétition n’ait jamais été reportée depuis 1957. Il en va de la survie même de la Confédération africaine de football. Le Comité exécutif pourra donc statuer en toute responsabilité et prendre les décisions nécessaires lors d’une réunion prévue sur le 11 novembre prochain pour l’évolution et le développement du football africain ». La question aujourd’hui est de savoir ce qui fait tant courir la CAF qui affiche clairement son manque d’importance à la santé des joueurs et leurs staffs qui viendront des plusieurs pays d’Afrique y comprend ceux dans lesquels le mal continue de sévir ? En effet, la question suscite des souvenirs fâcheux qui, à un moment donné, ont marqué le passage de l’ancien président de la Fédération Togolaise de Football (FTF) à un congrès électif de la confédération où il a dévoilé ce que la bande à Issa Hayatou gagne au dos des Africains. A l’époque, certains confrères béninois avaient révélé les avoir du camerounais, avoir au lot desquels un jet privé au nom d’une tierce. Il a aussi été révélé l’importance des droits de couverture médiatique qui selon certains observateurs, coutent deux fois plus chère que ceux perçus par la FIFA lors de la plus grande compétition mondiale, la phase finale de la coupe du monde. Cette façon de sacrifier les africains pour s’enrichir n’est pas la première dans l’histoire de la CAF. Pas plus tard qu’en 2010, la confédération ait décidée d’organiser en pays de guerre et de conflits armés, la phase finale de la CAN. Tout le monde se souvient forcément de ce que ce choix a eu et continue d’avoir sur le football togolais. L’on retient l’assassinat de deux compatriotes, Stanislas Oclo’o et Amélété Abalo en plus de plusieurs autres blessés par balles. L’on rappelle également que c’est suite à ce choix basé sur des intérêts personnels d’une minorité que le gardien des Eperviers du Togo, Kodjovi Obilalé a perdu sa validité et mis fin définitivement à une carrière prometteuse dès la fleur de l’âge de sa carrière. Si le Congolais Constant Omari, insiste sur la tenue vaille que vaille de la compétition prévue du 17 janvier au 8 février au Maroc malgré l’ampleur de cette réalité qui a même amené les autorités togolaises à reporter la foire internationale de Lomé, il est clair qu’il s’agit pour cette institution monarchique de se moquer de toutes ces stars qui fouleront la terre qui abritera la compétition. Tout se précise avec une interrogation de Constant Omari à savoir «Imaginez un seul instant que nous reportions cette compétition, quelles seraient les conséquences financières pour la CAF et les effets collatéraux sur ses partenaires commerciaux ou vis-à-vis du calendrier international ?